Après la trahison au cours d’un repas de famille inspiré de la Cène dans Et le coq chanta…, l’humiliation à travers un chemin de croix contemporain dans D’autres le giflèrent (au théâtre Jean-Vilar en 2015) Alexandra Lacroix et la Compagnie Manque Pas d’Airs approfondissent leur exploration thématique des Passions de Bach : une série de laboratoires de recherche, à la fois scénique et musicale, aboutira à la création du troisième et ultime spectacle de leur triptyque, Incarnation de l’invisible.
Le théâtre Jean-Vilar les accompagne dans ce processus. Un laboratoire qui conduira les artistes à tester, découper, assembler, creuser la musique de Bach dans des séquences de purification, d’ensevelissement et de disparition.
En parallèle, ils interviennent auprès d’une classe d’orchestre du 2e cycle du Conservatoire pour les initier à leur travail sur les corps musiciens (jeu sur scène, par coeur, sans chef et investi d’une intention scénique).
Ils convient le public à partager le fruit de leurs recherches en cours, le 9 novembre à 20h, au Plateau des Ecoles Municipales Artistiques (rue Camille Groult à Vitry – entrée libre).
[crédit photo Céline Isaert]Source: https://www.theatrejeanvilar.com/2606-14269/le-blog/fiche/le-laboratoire-des-passions.htm
.